Artiste peintre français né en 1953 à Saida ( Oranie ) , Jean-Michel ALBEROLA nous offre une dimension spirituelle de l'art.
Peintre associé à la <Figuration Libre >dite <Cultivée> Cette «figuration libre» est divisée en deux camps. D'un côté, des peintres dits «populaires» comme Robert Combas, nourris de bandes de sinées et prônant la notion de spontanéité. De l'autre, des artistes dits «cultivés», attachés au métier du peintre et qui visitent l'histoire de l'art. Alberola est rangé dans cette deuxième catégorie, aux côtés de Gérard Garouste, pour sa pratique de la citation.
Alberola s'appuie effectivement sur des références mythologiques ou bibliques. Il interprète Suzanne et les vieillards de Tintoret (1985), ou reprend le mythe d'Actéon (l'homme puni d'avoir vu). Cependant, repérer un thème commun chez deux peintres ne dit rien de leurs œuvres respectives, ni de l'art.
L'artiste s'intéresse à «cette idée de la fin de la peinture» (interview par D. Davvetas, Les Images peintes. Jean-Michel Alberola). En 1983, quand le Centre Pompidou organise une exposition en hommage à Edouard Manet, il présente deux toiles, l'une figurative, l'autre pas, la première se trouvant cachée par un tissu au bout de quelques jours. Selon Catherine Millet, Alberola opère une «mise en scène parfaitement orchestrée de la disparition de la peinture dans la peinture elle-même» (L'art contemporain en France). Mais on peut se demander de quelle peinture il s'agit.
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